Les Pléiadiens sont des êtres incroyablement pacifiques, aimants, spirituels et intelligents qui ont accompli de grandes choses dans leur culture et leur société. Parmi ces réalisations, citons la capacité de voir les yeux fermés, les capacités télépathiques, la capacité de figer le temps, la guérison instantanée d’eux-mêmes et des autres, le vol sans machine ils volent par la pensée à l’aide de leur Merkabah, une technologie si avancée qu’ils peuvent disparaître d’une planète à l’autre en un éclair de lumière, etc. Ils ont dépassé le stade de développement spirituel et se concentrent désormais sur le développement scientifique. Leurs villes sont construites à des centaines de pieds sous terre pour les protéger des rayons nocifs du soleil et de la lune, ainsi que des tremblements de terre, des inondations et d’autres cataclysmes sur leurs planètes. Les Pléiadiens vivent dans des cités de cristal qui scintillent comme de minuscules cristaux de quartz au milieu de la verdure de la nature. Sur les mondes de l’amas stellaire des Pléiades, plusieurs de ces villes ressemblent à des emplacements de cristal sous terre et sous les océans. Ces villes possèdent de nombreuses structures et activités inhabituelles. Par exemple, elles font pousser leur nourriture à l’intérieur de leurs bâtiments parce qu’elles ne veulent pas gaspiller d’espace pour faire pousser des champs ou des jardins en surface. Toute l’eau est recyclée, il n’y a donc pas besoin de lacs, de rivières ou de chutes d’eau à l’extérieur des bâtiments. Les gens prennent l’air en s’asseyant près des fenêtres légèrement ouvertes, en particulier la nuit lorsqu’il fait plus frais. Leurs bâtiments, qui sont faits d’une substance cristalline, sont tous reliés par des passerelles et des tubes transparents, de sorte qu’ils peuvent voir à travers eux pour observer ce qui se passe à l’extérieur. Ils ne portent des vêtements que lorsqu’ils vont à l’extérieur ; sinon, ils sont toujours vêtus de vêtements légers, semblables à ce que les humains appellent des combinaisons spatiales ». Les villes de cristal sont construites d’une manière particulière avec des cristaux qui ont la forme de hautes tours, de pyramides et de flèches en zigzag. Les villes de cristal et le paysage, en général, sont pleins de vie, se sentent bien et ont une apparence fantastique. L’énergie pure des planètes, des étoiles et des galaxies traverse les villes comme des veines ou des rivières de lumière blanc argenté, donnant vie à tout. Les villes de cristal pléiadiennes ne sont pas habitées par un grand nombre de personnes, car il s’agit plutôt de vivre ou d’être dans un environnement propre, harmonieux et paisible. Vivre dans les grandes villes de la Terre où il y a de la pollution, du bruit, du stress, des embouteillages et toutes sortes de mauvaises énergies est difficilement comparable au fait d’être parmi ces villes de cristal qui brillent comme de minuscules cristaux de quartz parmi la verdure de la nature. Outre les Pléiadiens, de nombreuses autres races stellaires vivent dans ces villes pour faire du commerce ou pour travailler avec les Pléiadiens. Les Pléiadiens vivent dans des villes construites dans les mêmes dimensions que leur corps. Les bâtiments sont hauts et minces, et une grande partie de leur espace est consacrée à la circulation de l’air. Ces villes hautes et minces absorbent la lumière du soleil depuis le sommet des bâtiments et la font descendre à travers les structures. Les fenêtres sont remplacées par des puits de lumière et l’éclairage artificiel est très peu nécessaire. Il y a beaucoup de verdure autour des bâtiments et à l’intérieur également, avec différentes variétés plantées dans chaque recoin disponible. Il est nécessaire qu’il y ait des fleurs partout, car les Pléiadiens les utilisent pendant leurs méditations. Les Pléiadiens eux-mêmes sont assez minces et grands, avec une taille moyenne de deux à trois mètres. On les voit généralement porter des vêtements blancs qui brillent comme des fils d’argent. Leur peau est généralement d’un vert pâle avec des nuances de bleu et de vert, et leurs cheveux vont du brun clair au blond roux. Les villes pléiadiennes sont construites sous terre, sous les lacs, les rivières ou les océans des planètes de l’amas stellaire des Pléiades. Les villes pléiadiennes sont très avancées et parfois invisibles pour certaines personnes. La cité du cristal jaune est un lieu de lumière et de beauté. Ses bâtiments sont faits de cristaux rayonnants, qui brillent de leur propre lumière intérieure. Il y a de nombreux jardins dans la ville, et les gens peuvent se baigner dans la rivière qui la traverse. Les Pléiadiens y vivent en permanence. Ils ont également accès à d’autres villes dans le même système stellaire, telles que Blue crystal city Cet endroit est comme une version miniature de la cité de cristal jaune mais de couleur bleue. La cité de cristal rouge Cette ville déborde d’énergie et de feu. Ses habitants bénéficient à la fois de la haute technologie et du développement spirituel. Cité de cristal verte Cette ville abrite de nombreux guérisseurs, qui fournissent un service à l’ensemble du système stellaire pléiadien, y compris la Terre. Cité de cristal violette Cette ville offre un enseignement aux personnes de toute la galaxie qui souhaitent visiter et apprendre le développement spirituel et la culture pléiadienne. Toutes les villes mentionnées ci-dessus sont ouvertes à tous les Terriens qui souhaitent les visiter, bien qu’il existe des règles strictes concernant ce dont on peut parler à son retour sur Terre. Il y a aussi plus que ces cinq villes dans l’amas stellaire des Pléiades, mais ce sont les plus populaires. Les villes pléiadiennes ont un très haut niveau de technologie et sont très spirituelles. On peut se rendre en esprit à l’intérieur des cités de cristal et communiquer avec ses guides et ses professeurs. On dit que les Pléiadiens ont aussi créé quelques villes souterraines sur la Terre, en Amérique du Sud et aussi sous les déserts des États-Unis, et ils ont créé de nombreuses colonies pléiadiennes qui se trouvent sous la surface de la Terre près de sites sacrés comme Machu Picchu, Ollantaytambo, et d’autres. Les Pléiadiens vivent dans leurs communautés ou leurs villes sans interférer avec la nature ni lui nuire. Ils n’utilisent jamais de produits ou de sous-produits animaux pour se nourrir, se vêtir ou pour toute autre raison. Cependant, ils utilisent des cristaux pour créer tout ce dont ils ont besoin en utilisant leur esprit, leur conscience et leur connaissance de la manipulation des champs énergétiques. Ils respectent toutes les formes de vie animale, les plantes et les arbres en tant qu’êtres vivants, tout comme les êtres humains, mais ils ne les consomment pas pour se nourrir. Ils cultivent des fruits et des légumes extrêmement nutritifs dans leurs jardins et leurs fermes hydroponiques. Ils ne mangent que ce qui est cultivé dans leurs propres jardins biodynamiques. Il n’y a pas de pollution ou de contamination car ils recyclent tout en engrais pour leurs plantes, ce qui nettoie l’air et l’eau de la planète. Nous vous aimons sommes ici avec sommes votre famille de lumière. A’HO Aurora RayAmbassadrice de la Fédération Galactique 489 Retrouvez-moi sur Odysee, Telegram et GETTR
Entreépingles et virages à l’aveugle, la spéciale d’ouverture promet d’être sélective. La deuxième, longue de 11,5 kilomètres et à parcourir deux fois également, a aussi étéLes Pléiadiens sont des êtres incroyablement pacifiques, aimants, spirituels et intelligents qui ont accompli de grandes choses dans leur culture et leur société. Parmi ces réalisations, citons la capacité de voir les yeux fermés, les capacités télépathiques, la capacité de figer le temps, la guérison instantanée d’eux-mêmes et des autres, le vol sans machine ils volent par la pensée à l’aide de leur Merkabah, une technologie si avancée qu’ils peuvent disparaître d’une planète à l’autre en un éclair de lumière, etc. Ils ont dépassé le stade de développement spirituel et se concentrent désormais sur le développement scientifique. Leurs villes sont construites à des centaines de pieds sous terre pour les protéger des rayons nocifs du soleil et de la lune, ainsi que des tremblements de terre, des inondations et d’autres cataclysmes sur leurs planètes. Les Pléiadiens vivent dans des cités de cristal qui scintillent comme de minuscules cristaux de quartz au milieu de la verdure de la nature. Sur les mondes de l’amas stellaire des Pléiades, plusieurs de ces villes ressemblent à des emplacements de cristal sous terre et sous les océans. Ces villes possèdent de nombreuses structures et activités inhabituelles. Par exemple, elles font pousser leur nourriture à l’intérieur de leurs bâtiments parce qu’elles ne veulent pas gaspiller d’espace pour faire pousser des champs ou des jardins en surface. Toute l’eau est recyclée, il n’y a donc pas besoin de lacs, de rivières ou de chutes d’eau à l’extérieur des bâtiments. Les gens prennent l’air en s’asseyant près des fenêtres légèrement ouvertes, en particulier la nuit lorsqu’il fait plus frais. Leurs bâtiments, qui sont faits d’une substance cristalline, sont tous reliés par des passerelles et des tubes transparents, de sorte qu’ils peuvent voir à travers eux pour observer ce qui se passe à l’extérieur. Ils ne portent des vêtements que lorsqu’ils vont à l’extérieur ; sinon, ils sont toujours vêtus de vêtements légers, semblables à ce que les humains appellent des combinaisons spatiales ». Les villes de cristal sont construites d’une manière particulière avec des cristaux qui ont la forme de hautes tours, de pyramides et de flèches en zigzag. Les villes de cristal et le paysage, en général, sont pleins de vie, se sentent bien et ont une apparence fantastique. L’énergie pure des planètes, des étoiles et des galaxies traverse les villes comme des veines ou des rivières de lumière blanc argenté, donnant vie à tout. Les villes de cristal pléiadiennes ne sont pas habitées par un grand nombre de personnes, car il s’agit plutôt de vivre ou d’être dans un environnement propre, harmonieux et paisible. Vivre dans les grandes villes de la Terre où il y a de la pollution, du bruit, du stress, des embouteillages et toutes sortes de mauvaises énergies est difficilement comparable au fait d’être parmi ces villes de cristal qui brillent comme de minuscules cristaux de quartz parmi la verdure de la nature. Outre les Pléiadiens, de nombreuses autres races stellaires vivent dans ces villes pour faire du commerce ou pour travailler avec les Pléiadiens. Les Pléiadiens vivent dans des villes construites dans les mêmes dimensions que leur corps. Les bâtiments sont hauts et minces, et une grande partie de leur espace est consacrée à la circulation de l’air. Ces villes hautes et minces absorbent la lumière du soleil depuis le sommet des bâtiments et la font descendre à travers les structures. Les fenêtres sont remplacées par des puits de lumière et l’éclairage artificiel est très peu nécessaire. Il y a beaucoup de verdure autour des bâtiments et à l’intérieur également, avec différentes variétés plantées dans chaque recoin disponible. Il est nécessaire qu’il y ait des fleurs partout, car les Pléiadiens les utilisent pendant leurs méditations. Les Pléiadiens eux-mêmes sont assez minces et grands, avec une taille moyenne de deux à trois mètres. On les voit généralement porter des vêtements blancs qui brillent comme des fils d’argent. Leur peau est généralement d’un vert pâle avec des nuances de bleu et de vert, et leurs cheveux vont du brun clair au blond roux. Les villes pléiadiennes sont construites sous terre, sous les lacs, les rivières ou les océans des planètes de l’amas stellaire des Pléiades. Les villes pléiadiennes sont très avancées et parfois invisibles pour certaines personnes. La cité du cristal jaune est un lieu de lumière et de beauté. Ses bâtiments sont faits de cristaux rayonnants, qui brillent de leur propre lumière intérieure. Il y a de nombreux jardins dans la ville, et les gens peuvent se baigner dans la rivière qui la traverse. Les Pléiadiens y vivent en permanence. Ils ont également accès à d’autres villes dans le même système stellaire, telles que Blue crystal city Cet endroit est comme une version miniature de la cité de cristal jaune mais de couleur bleue. La cité de cristal rouge Cette ville déborde d’énergie et de feu. Ses habitants bénéficient à la fois de la haute technologie et du développement spirituel. Cité de cristal verte Cette ville abrite de nombreux guérisseurs, qui fournissent un service à l’ensemble du système stellaire pléiadien, y compris la Terre. Cité de cristal violette Cette ville offre un enseignement aux personnes de toute la galaxie qui souhaitent visiter et apprendre le développement spirituel et la culture pléiadienne. Toutes les villes mentionnées ci-dessus sont ouvertes à tous les Terriens qui souhaitent les visiter, bien qu’il existe des règles strictes concernant ce dont on peut parler à son retour sur Terre. Il y a aussi plus que ces cinq villes dans l’amas stellaire des Pléiades, mais ce sont les plus populaires. Les villes pléiadiennes ont un très haut niveau de technologie et sont très spirituelles. On peut se rendre en esprit à l’intérieur des cités de cristal et communiquer avec ses guides et ses professeurs. On dit que les Pléiadiens ont aussi créé quelques villes souterraines sur la Terre, en Amérique du Sud et aussi sous les déserts des États-Unis, et ils ont créé de nombreuses colonies pléiadiennes qui se trouvent sous la surface de la Terre près de sites sacrés comme Machu Picchu, Ollantaytambo, et d’autres. Les Pléiadiens vivent dans leurs communautés ou leurs villes sans interférer avec la nature ni lui nuire. Ils n’utilisent jamais de produits ou de sous-produits animaux pour se nourrir, se vêtir ou pour toute autre raison. Cependant, ils utilisent des cristaux pour créer tout ce dont ils ont besoin en utilisant leur esprit, leur conscience et leur connaissance de la manipulation des champs énergétiques. Ils respectent toutes les formes de vie animale, les plantes et les arbres en tant qu’êtres vivants, tout comme les êtres humains, mais ils ne les consomment pas pour se nourrir. Ils cultivent des fruits et des légumes extrêmement nutritifs dans leurs jardins et leurs fermes hydroponiques. Ils ne mangent que ce qui est cultivé dans leurs propres jardins biodynamiques. Il n’y a pas de pollution ou de contamination car ils recyclent tout en engrais pour leurs plantes, ce qui nettoie l’air et l’eau de la planète. Nous vous aimons sommes ici avec sommes votre famille de lumière. A’HO Aurora RayAmbassadrice de la Fédération Galactique 483 Retrouvez-moi sur Odysee, Telegram et GETTR Destechniques de massage bien-être, entre relaxation, tonus et équilibre pour faire un pas de plus vers votre vitalité. Nous vous proposons de (re)prendre contact avec vous-même, profondément. Vous êtes une personne, un corps, le résultat d’une histoire de vie. En fonction de votre état physique, mental et émotionnel du moment, vos Un agneau devient gourou d’une secte. Voici l’univers étrange dans lequel vous plonge le jeu vidéo Cult of the Lamb. C’est mignon et un peu sanglant. Et, surtout, c’est réussi. Vous êtes là , à scroller tranquillement sur Internet, quand soudain quelqu’un tape à la porte. Oh non, c’est encore ce type bizarre qui parle de jeux bizarres sur Numerama. Il a l’air bien remonté cette fois-ci. Il tambourine, encore et encore sur la porte, jusqu’à ce que vous alliez lui ouvrir. Vous n’en avez pas vraiment envie, mais il faut bien qu’il arrête un jour, alors vous ouvrez la porte Pécheurs, pécheresses ! Auriez-vous un instant pour parler de notre seigneur et sauveur Cult of the Lamb ? Ça ne prendra que quelques minutes ! » Nous avons pu tester ce jeu, développé par Massive Monster et prévu pour le 11 août sur PC, Nintendo Switch, PlayStation 4, PlayStation 5 et Xbox. Comme l’avait laissé présagé la preview de Cult of the Lamb à laquelle nous avions eu accès en juillet, nous n’avons pas été déçus. Secte and the city Le périple de notre petit agneau débute sur un banc d’exécution, alors qu’un bourreau affûte une immense hache qu’il brandit ensuite au-dessus de sa tête. Il y a une certaine assurance dans le geste, on peut sentir qu’il a fait ça des milliers de fois. Mais, cette fois-ci, l’ambiance est différente. On dirait presque qu’il va se passer quelque chose. La lame entame sa rapide descente vers la nuque fébrile et tremblotante de l’animal, mais lorsque le métal froid touche sa peau, la scène s’interrompt. Un flash aveuglant éclaire l’assemblée et quand il est temps de reprendre ses esprits, le jeune ovin fait face à une créature difforme, tenue en place par quatre grandes chaînes qui restreignent ses mouvements. Je t’ai sauvé la vie, dit-elle. En échange, je ne te demande qu’une chose prends ma couronne et reviens à la vie pour créer un culte et affronter les quatre Prélats, qui m’ont emprisonné ici. » Évidemment, vous vous doutez bien que ce n’est pas une proposition que qui que ce soit est en droit de refuser. Cult of the Lamb. // Source Capture d’écran S’ouvrent à vous les portes de l’après, celles d’une nouvelle vie qui va consister à rallier un troupeau de petits animaux à votre dogme et espérer anéantir les quatre créatures qui gardent votre sauveur prisonnier. De façon très concrète, Cult of the Lamb tourne donc autour de deux axes principaux la gestion d’une terre où loger, nourrir et prêter sermon à vos fidèles adeptes, et une autre partie plus orientée action où il est question de parcourir des donjons à la recherche de ressources, de monstres à tuer et d’équipements utiles pour progresser dans l’aventure. Il faut voir cela comme deux parties distinctes, qui se jouent différemment, mais peuvent communiquer entre elles de différentes manières. D’un côté, un aspect gestion à la Don’t Starve où l’on va construire des petites maisons et un feu de camp pour cuisiner des petits plats ; de l’autre, des combats dans des salles générées procéduralement, qui empruntent autant à Hades qu’à The Binding of Isaac. Fonder un culte et terrasser des monstres, c’est un beau projet. Mais, si vous pouviez demander au gourou d’une secte comment tout a commencé, il vous assurerait sans doute qu’il a fallu attendre un petit moment avant d’avoir derrière lui des milliers d’adeptes, prêts à tout pour faire plaisir à un type en toge qui porte une couronne. Dans Cult of the Lamb, c’est pareil. L’église sera peu remplie lors des premiers sermons matinaux. Pourtant, c’est précisément en jouant que vous rencontrerez de nouveaux adeptes à guider vers le droit chemin, celui de votre base. Cerfs, poissons, éléphants, chats, renards… L’aventure est remplie de petits animaux d’une trentaine d’apparences différentes qu’il est possible de rencontrer dans les donjons et d’enrôler, soit en leur offrant un toit, soit en terrassant les gens qui les tiennent prisonniers. Ils apparaîtront ensuite au milieu d’un cercle d’invocation à la maison, et pourront être assignés à une tâche pour être utiles au groupe. Cult of the Lamb. // Source Capture d’écran Autel cinq étoiles Construisez-leur un réchaud, et ils mangeront. Construisez-leur des lits, ils dormiront. Construisez-leur un autel, ils prieront. D’une simple soirée camping autour d’un feu de camp, votre colonie deviendra au fil du temps une vraie base d’opérations fonctionnelle et foisonnante, qu’il faut surveiller et gérer pour s’assurer que tous les membres du culte s’y sentent bien. Les adeptes auront, par exemple, besoin d’un repas par jour, d’un lit et d’un endroit où faire leurs besoins, mais tout cela nécessitera d’abord de collecter un peu de ressources. Ça tombe bien, vous pouvez aussi leur demander de couper du bois ou d’aller récolter de la pierre pour concrétiser vos idées les plus loufoques et bâtir un repaire à la hauteur de leurs croyances. Viendra un beau jour où, en se baladant au milieu de sa base, on s’apercevra que celle-ci prend vie grâce aux dizaines d’animaux qui s’agitent pour planter des légumes, nettoyer et entretenir ce havre de paix. Malheureusement, pendant plusieurs heures de jeu, c’est à vous de faire le sale boulot. C’est à vous de cuisiner chaque matin des repas à base de baies pour nourrir toutes ces bouches, à vous de nettoyer les déjections qui jonchent le sol et à vous de soigner leurs maladies, autrement vos adeptes auront du mal à se sentir bien et commenceront à perdre le feu sacré. C’est là qu’intervient un autre élément essentiel à la gestion du culte la jauge de foi. Posée en haut à gauche de l’écran, elle grimpe et descend au gré de vos actions. C’est elle qui indique à quel point vos adeptes sont dévoués à la cause. Dans le cas contraire, ils peuvent tout à fait se rebeller et prendre un mégaphone pour aller hurler dans les oreilles de leurs compères que vous n’êtes qu’un charlatan. Clairement, c’est la dernière chose dont vous avez envie. Cult of the Lamb. // Source Capture d’écran Pour rallier les éventuels dissidents à la cause, plusieurs moyens s’offrent à notre petit agneau. En faisant un tour dans l’église, il est déjà possible de donner un sermon chaque matin, ce qui fera grimper la jauge de foi commune et offrira un peu plus de dévotion à chacun d’entre eux. Si cela ne suffit pas, on dit bonjour à la micro-gestion il est également possible d’aller parler à tous ses fidèles individuellement pour les faire revenir à la raison, en préparant un discours inspirant ou en leur graissant la patte avec quelques pièces d’or filées sous le manteau. Aller prêcher la bonne parole en les interpellant directement est une solution chronophage, et franchement l’un des aspects les plus redondants du jeu. Cependant, c’est un moyen sacrément efficace pour créer de l’attachement entre le joueur et ses adeptes. Après quelques heures passées à faire le moniteur de colo et à demander à ses fidèles comment ils vont chaque matin, on finit par se souvenir d’eux, et on leur donne même des petits prénoms. On ne dit plus bonjour au petit renard qui ramasse les déchets », on dit bonjour à René. On lui offre des cadeaux, on lui donne à manger et on fait tout pour s’attirer ses bonnes faveurs, parce que s’il est fâché, ce n’est pas bon pour le business. Attention à ne pas non plus trop déranger ses adeptes en les réveillant pour un sermon en pleine nuit ou en interrompant une discussion dans les deux cas, ils vous feront savoir qu’ils sont fâchés. Cult of the Lamb. // Source Capture d’écran Le repaire du culte apporte donc une myriade de mécaniques et de systèmes à entretenir régulièrement, mais également d’autres événements plus ponctuels et objectifs à atteindre pour faciliter l’exploration des donjons. En plus des sermons classiques, on note la possibilité de choisir des doctrines apportant divers bonus passifs aux adeptes, des rituels permettant de sacrifier, marier, battre à mort ou découper des fidèles, ou encore des améliorations d’armes et d’équipement pour ses futures pérégrinations. Certains fidèles pourront par ailleurs venir vous trouver pour vous demander un service ou lancer une quête — qui consiste généralement à lui ramener un truc, lui cuisiner un bidule ou construire un machin. On passe en fait beaucoup de temps dans Cult of the Lamb à remplir des jauges et entretenir des relations qui semblent futiles, mais qui révèlent à terme du nouveau contenu et des éléments importants pour progresser dans l’histoire. Des tenues spéciales aux pouvoirs uniques, la possibilité de transformer les petits animaux en familiers démoniaques pour les donjons et même de nouvelles zones à visiter, qui sont généralement l’occasion de rencontrer de nouveaux personnages haut en couleur. En plus d’être d’une générosité assez folle, Cult of the Lamb tisse des liens concrets entre sa partie gestion et ses donjons, qui donnent du sens et du liant à ses mécaniques de rogue-like. Contrairement à des jeux comme The Binding of Isaac, le monde continue de tourner pendant que l’on part combattre, et il se passe toujours quelque chose entre les parties. Cult of the Lamb. // Source Capture d’écran Le loot et l’agneau Mais, ces combats, justement, que donnent-ils ? C’est certainement la partie la moins surprenante du jeu, puisqu’elle s’inspire ouvertement de The Binding of Isaac et de sa génération aléatoire. Il y a quatre donjons pour quatre grands boss à tuer, et des salles successives à visiter l’une après l’autre sur la carte. Tout le cahier des charges du rogue-like est respecté des salles aux ennemis aléatoires, de multiples embranchements, des améliorations de statistiques et même un objet spécial par étage, prenant ici la forme de trente-six cartes de tarot amenant chacune des modificateurs différents. Cult of the Lamb lorgne donc beaucoup du côté d’Isaac pour sa structure, puis va rythmer les affrontements avec une prise en main proche de celle de Hades. Ça roule, ça bouge, les ennemis sont très mobiles et dès le deuxième donjon, il faut également surveiller certains dangers environnementaux comme des chutes de rochers ou des boules de feu. Cult of the Lamb. // Source Capture d’écran La quasi-totalité des joutes se déroule au corps à corps, avec les armes que nous fournit le jeu à l’entrée de chaque donjon. Il peut s’agir d’une épée, d’une hache, de dagues ou d’un marteau, disposant tous de valeurs d’attaque et d’une vitesse différentes ; comme dans Hades, préférer une arme plutôt qu’une autre en fonction de son style de jeu a donc son importance. À côté de ça, la touche Y de la manette provoquera le lancement d’un maléfice, une sorte de sort aux effets variés qui se recharge en tuant des ennemis. N’en attendez pas un rogue-like porté par des milliers de synergies en dehors de quelques combos particulièrement rares et puissants, Cult of the Lamb mise surtout sur une nervosité bien dosée et des projectiles par dizaines pour vous faire suer pendant les combats. Ajoutez à cela les familiers et leurs capacités uniques obtenues grâce aux adeptes, quelques arènes spéciales et un panel d’ennemis peu nombreux, mais variés, et on obtient un jeu qui, même s’il ne tape pas foncièrement dans l’originalité, exécute presque tout à la perfection. Si l’on a l’impression que le jeu tape si juste, c’est aussi en partie grâce à la cohérence qui se dégage de sa direction artistique. Non seulement les différentes mécaniques du jeu sont pensées pour communiquer les unes avec les autres, mais la moindre de nos actions dans les donjons comme à la maison fera l’objet d’animations et de scènes cinématiques cryptiques absolument délicieuses à regarder. Les animations contextuelles, le choix des couleurs ou encore des polices, des effets de lumière sur les visage des petits animaux en passant par les dizaines d’orbes d’expérience qui dansent à l’écran, Cult of the Lamb est très doué pour transformer la violence graphique de certaines scènes en une effervescence de mignonnerie. C’est un titre qui réussit l’exploit d’être à être à la fois charmant, accueillant et inhabituellement violent, grâce à un style artistique net et cohérent d’un bout à l’autre. Ce parti pris graphique peut néanmoins poser quelques gênes en combat, quand la caméra se place malencontreusement derrière un effet visuel ou qu’un ennemi pas plus haut qu’une brindille se confond avec le décor et bondit d’une herbe pour attaquer, sans nous laisser le temps de réagir. Parfois, la beauté s’installe un peu au détriment de la lisibilité. Cult of the Lamb. // Source Capture d’écran Au final, le jeu est fichtrement addictif. Il y a toujours quelque chose à faire à la base ou de nouveaux personnages à rencontrer dans les donjons, ce qui laisse finalement assez peu le temps de s’ennuyer sur la quinzaine d’heures qui précède le générique de fin. La fièvre de la fameuse dernière partie avant de se coucher » frappe particulièrement fort quand chaque nouveau donjon exploré permet de débloquer un ou plusieurs nouveaux objets il y en a une bonne centaine, la plupart décoratifs à installer dans sa maison. Les deux facettes du jeu dépendent l’une de l’autre, et se complètent parfaitement. Vous vous attacherez à vos adeptes, vous vivrez avec eux. Vous les verrez être heureux, fatigués, en colère, affamés, et même vieillir. Un beau jour, ce petit renard que vous avez appris à aimer se réveillera avec les jambes lourdes, traînera sa canne jusqu’à l’église et pourra difficilement travailler sur le camp. Eh oui, le petit René n’a peut-être rien pu faire face aux affres du temps qui passe, mais ce n’est pas bien grave des fidèles prêts à mourir pour la cause, il y en a des centaines d’autres qui attendent dans les bois. Prenez la bonne décision sacrifiez René sur l’autel devant les autres adeptes. Personne ne vous en voudra. Le verdict On a aimé Très généreux visuellement Excellent équilibre entre gestion de base et combats S’attacher à ses petits animaux et les sacrifier pour le bien commun On a moins aimé Quelques soucis de lisibilité dans les donjons Une micro-gestion parfois répétitive Peu d’intérêt à continuer une fois le jeu terminé Quelle petite claque, quand même. On se doutait bien après avoir essayé la démo que Cult of the Lamb allait nous voler quelques heures de vie, mais on ne se doutait pas qu’il serait si difficile de lâcher la manette. En donnant vie de la plus belle des façons à un culte de petits animaux religieux, le jeu de Massive Monster mélange habilement des mécaniques de construction de base, proches de Don’t Starve, avec des combats nerveux qui font du gringue à Hades ou The Binding of Isaac. Un mélange aussi insolite qu’addictif, qui nous offre ce qui ressemble à l’un des jeux les plus enchanteurs de cette année.
Nousavons essayé le cupcake des hôtesses à la crème au chocolat. Ensuite, nous avons essayé le petit gâteau Boston creame. Délicieux et c'était la première fois que nous allions ici. Ils étaient serviables et très sympathiques. Je vais déjeuner la prochaine fois.
Aller à la page 1, 2, 3 AuteurMessageInvité Empire State of MindInvité Sujet I don't bite. Ask me. Mar 15 Jan - 1506 25 ans ◇ Célibataire ◇ Styliste ◇ New York Tu veux en savoir un peu plus sur moi ? Je te propose de cliquer ici → ♀ Bien qu'elle soit gentille et tendre, Diamond n'est pas le genre de fille à se laisser marcher sur les pieds facilement, quand elle veut quelque chose, elle fait tout pour l'obtenir, peu importe le domaine qu'elle vise. N'ayant pas eu de présence paternel, elle s'est recroquevillée et ne veut pas en entendre parler. Les relations amoureuses ? Elle utilise les hommes et prend plaisir à les jeter comme de vulgaires kleenex, on pourrait appeler ça une vengeance personnelle. Spoiler Dernière édition par Diamond J. Kent le Lun 11 Fév - 1428, édité 2 fois Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Mar 15 Jan - 1506 de lien ◆ LA DESCRIPTION DU de lien ◆ LA DESCRIPTION DU édition par Diamond J. Kent le Mar 15 Jan - 1512, édité 2 fois Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Mar 15 Jan - 1507 Jusqu'où cette histoire nous mènera ? ◆ Une rencontre dans un bar autour de plusieurs verres. Diamond n'aurait jamais pensé retrouver Enzo deux ans après à New York. Elle ne croyait pas forcément aux coïncidences, là pourtant elle se posait la question qui devait se poser, pourquoi ? Pourquoi est-ce que la vie lui avait fait croiser à nouveau le chemin de ce beau brun ? Y avait-il une raison à ça ? Devait-elle se laisser guider, ne pas avoir peur et pour la première fois de sa vie, pouvait-elle faire confiance à un homme ? Le chemin allait être long...Ex. Un homme à la hauteur ! ◆ LA DESCRIPTION DU édition par Diamond J. Kent le Lun 11 Fév - 1437, édité 4 fois Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Mar 15 Jan - 2006 Elle croquerait bien Enzo aussi... HAHAHA. Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Mer 16 Jan - 2359 Eh oui, tous les deux ils se ressemblent Diamond a voyagé avec sa mère oui, elle est à New York depuis 5 ans maintenant, mais elle aurait très bien pu accompagner sa mère lors de quelques voyages J'attends ton idée Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Jeu 17 Jan - 020 Alors, je tente ca Le destin force parfois les choses, non ? Enzo a rencontré Diamond au détour d'une rue de Los Angeles. Une fille banale s'était -il dit .... Jusqu'à leur conversation autpur d'un verre dans l'un des endroits les pluss branchés de Les heures passèrent. Une nuit à discuter. Les deux jeunes gens pouvaient se reconnaotre l'un dans l'autre. Ils échangèrent leur numéro mais le réflexe Donner un faux !!! Plus de deuw ans aprés ils se retrouvent à NYC. L'attachement et le lien qu'ils ont envers l'autre n'est plus à prouver .... Mais pourront ils le gérer ou encore se l'avouer ? Que cache ce lien si spécial ? Comme ca, c'est vague mais on a la base et le reste en s'éclate en rp. Comme on saot si bien le faire Tu aimes ? Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Jeu 17 Jan - 043 Du Diamond & Enzo tout craché, c'est clair !!! On va s'éclater je le sens A la la, y'en a une qui va être jalouse encore Il nous faut un RP Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Jeu 17 Jan - 051 Il nous faut un rp, en effet - Tu veux le commencer ou pas ?Tu parles d'Andréa ? Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Jeu 17 Jan - 201 Ok ! De mon côté, avec Casey j'ai deux réponses à faire et une ouverture de topic avec Diamond. Sachant que je pourrais rp deux fois demain. Donc, do it if you can Pauvre Andréa Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Jeu 17 Jan - 1359 The Carlyle, i say yes, ça va être bon Je promets à Andréa que rien ne se passera entre Enzo & Diamond Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Invité Empire State of MindInvité Sujet Re I don't bite. Ask me. Dim 20 Jan - 2106 Savannah Je recherche de tout ! Dis-moi ce que tu souhaiterais Enzo Elle saura se tenir tranquille, même avec son fichu caractère, elle n'est pas là pour faire la misère à cette demoiselle, de plus Savannah est dans les parages... Invité Empire State of MindInvité
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