Jy suis allé un vendredi pour avoir une table à 21h30 le service était un peu long et en plus de ça vers la fin du repas il voulait limite nous virer du restaurant pour la place Ce qui est bien c’est le spectacle, le show donner. Date de la visite : avril 2019. Poser une question à LindaLindoush à propos de La Gioia. 1 Merci LindaLindoush . Cet avis est l'opinion subjective d'un
alpha H artiste Herbert Pagani titre La bonne franquette Les paroles de la chanson La bonne franquette »Herbert Pagani {Parlé}Milan, Londres, Amsterdam, rationnement d’essenceLes dames du macadam s’hibernent le dimancheEt pour les autoroutes c’est l’aube du silenceMais dans ma vieille Europe couleur d’austéritéOù le steak se fait cher et la monnaie plus rareLes amoureux découvrent leurs guitares,Leur femme, Leurs trottoirs, et leurs voisinsRichesses oubliées au jour de l’abondanceEt moi j’ai réveillé du lit de ma mémoireLes noms de mes amis, les bruits de la conscienceCes années de la rage, ces heures de l’amourQue je vous chante en rime et sans décor autourRien d’autre que ces plages ou tout espoir commenceCes plages oubliées dans le délire des sensLes plages de silence!{Chanté}Allez! chérie! sors tous les verresLe vieux Chianti, les boites de bièreLa grande soupière et le salamiOn verra pas passer la nuitCe soir on fête l’anniversaireDe Marie-France et de Jean-PierreÇa fait trois ans qu’ils sont mariésChérie, passe-moi ton tablierY aura Françoise et puis MonetteY a même des fleurs et un gâteauAlbert apporte les chandellesY aura Philippe à la sortie de l’opéraQui viendra nous faire des photosLes voilà! les voilà! c’est vous! quelle merveille!Par ici les manteaux, par là les bouteillesLes amis, des amis, sont tous des amisPlus on est de fous, ah! ah! plus on ritUn pique nique en hiver sur une moquetteC’est la faim, c’est la joie, la bonne franquetteEt ça fume et ça boit, ça chante et ça ritJe peux vivre sans pain mais pas sans amis!Y a du mousseux qui coule à flotsÇa tangue comme sur un bateauDans l’atmosphère vaguement cosaquePhilippe recharge son KodakChérie, descends chez les voisinsVa leur offrir un verre de vinS’ils n’ont pas peur de la javaDis-leur qu’ils montent en pyjamaBravo! quel arbre de NoëlY a des lumières plein le gâteauJean Pierre souffle les chandellesMaintenant Philippe laisse tomber la caméraChante nous les Noces de FigaroLes voilà! les voilà! c’est vous! quelle merveille!Par ici les manteaux, par là les bouteillesLes voisins sont montés en chemise de nuitOn les applaudit, ce sont des amisUn pique nique en hiver sur une moquetteC’est la faim, c’est la joie, la bonne franquetteEt ça fume et ça boit, ça chante et ça ritJe peux vivre sans pain mais pas sans amis...Il est trois heures après minuitSalut Jacquot, salue JulieBises à Toni, bises à GermaineAllez Gilbert à la prochaineAu revoir, au revoir, c’était vraiment chouetteDe vous avoir tous ici à la bonne franquetteDites au fait, vendredi prochain ça vous dit?Je peux vivre sans pain mais pas sans amis...la la la la la la la la la........
Plusj'avance, plus j'ai le bras qui se tend. Koba, G2, SDM. Donc tu sais que y a du sale qui se trame. C'est nous les meilleurs dans la vente. Dans ma sacoche, du rouge et bleu. On tue ça, tue ça, tu sais (Ah bon) On tue ça, tue ça, tu sais, fort
Ils étaient une soixantaine, le dimanche soir qui a suivi l'explosion, dans les locaux du syndicat Sud service public; essentiellement des syndicalistes et des membres du réseau antimondialisation. Passé le week-end à nettoyer chez les copains, on s'est dit qu'on ne pouvait pas rester comme ça », se souvient Marcel Leroux, un ingénieur du centre d'étude de la navigation aérienne qui, ce soir-là, a bien dû revenir à des considérations plus terre à terre. Une question se pose alors. Faut-il rameuter les bonnes volontés pour aller aider sur le terrain? Ou faut-il faire pression sur les pouvoirs publics pour qu'une telle catastrophe ne se reproduise pas? Une majorité se dégage pour la deuxième solution. L'idée est de dire à un moment, il faut une réponse collective sur la ville. On ne peut pas accepter qu'il n'y ait pas de réflexion de fond sur un site comme ça. » Deux jours après, personnes reprennent en choeur un refrain désormais célèbre, Plus jamais ça ni ici ni ailleurs ». Ce qui devait être un simple rassemblement place du Capitole se transforme en longue manifestation jusqu'à la préfecture. Le collectif est en marche. Les commissions se mettent en place le jeudi. Un tee-shirt est imprimé montrant une large croix rouge sur l'usine AZF. Et les slogans sont repris de plus belle le samedi par quelque personnes. LES LIBERTAIRES, LES ECOLOS ET LES ASSOCIATIFS Mais en fait, quelles sont vraiment les chevilles ouvrières du collectif? Pour résumer, disons qu'elles représentent trois courants. - Les toto », autrement dit les autonomes à tendance libertaire. Ils viennent du Clandé, le squat de la rue de Queven, ou de Canal sud, une radio associative du quartier Saint-Michel. - Les écolos, avec principalement des membres des Amis de la terre, mais aussi des représentants des Verts. - Et le courant militant traditionnel, avec des syndicalistes auxquels se sont joints les associations de quartiers de Bagatelle, La Faourette, la cité du Parc, Lafourguette, la Reynerie, l'association Azur à Empalot, le collectif Croix-de-Pierre, l'association des sinistrés du 21 - qui est née à Papus mais qui regroupe maintenant des victimes de tous les quartiers 1. Pour tous, les débats de fond succèdent vite à la joyeuse pagaille des premières AG. Quelques bénévoles réunis en commission font état de leurs réflexions devant des militants remontés qui se pressent à chaque fois plus nombreux dans le local du syndicat Sud. Chacun donne alors son avis avant le vote. Car il est clair pour tous qu'à l'extérieur le collectif doit parler d'une seule voix. Personne ne s'exprime au nom du collectif s'il n'a pas l'aval du collectif », a encore rappelé Dominique Gilbon, un représentant de la commission sécurité environnement, lors de l'AG de mercredi dernier. Une organisation un peu lourde mais qui permet au collectif de se positionner comme un véritable contre pouvoir » face aux autorités qui ont une énorme responsabilité dans la catastrophe ». Béatrice 1 Précisons qu'un collectif est en passe d'être créé dans le quartier Rangueil et qu'un autre se prépare au sein de l'hôpital Marchant. Robert Venezia au téléphone Robert vient à peine de se rouler une cigarette que déjà le téléphone sonne. Depuis le 1er octobre, c'est lui qui tient la permanence du collectif Plus jamais ça dans les locaux de l'Union syndicale solidaire. Entre 150 et 200 appels par jour au c'est le pain quotidien de ce militant chevronné qui est né en colère » et qui, là, est encore plus en colère ». Ce qui s'est passé me conforte dans la bagarre que je peux mener depuis très très longtemps. Ce profit permanent qui ne tient pas compte de la vie des gens, c'est pas mon truc. » Et visiblement, ce n'est pas non plus le truc de ceux qui l'appellent. 40 % des appels concerne les procédures à suivre pour porter plainte contre totalFinaElf, indique ainsi Robert. Deuxième chose, ce sont des gens qui veulent adhérer au collectif. Même si on n'est pas encore une association, ils veulent participer d'une manière ou d'une autre. Certains pensent aussi qu'on récolte des frigos, des vêtements; mais ce n'est pas le cas. Nous n'avons pas l'infrastructure pour recueillir tout ça. Je les renvoie sur les associations caritatives. Par contre, il arrive que je fasse marcher le réseau des proches, comme pour cette dame seule avec sa fille de 18 mois qui cherchait un logement. C'est un réflexe de syndicaliste que je défends ainsi. Je n'ai pas envie d'avoir seulement une vision corporatiste de l'action syndicale. Je défends aussi la solidarité avec la société. » Myriam Poux sur le terrain Educatrice spécialisée dans le quartier de La Faourette, Myriam Poux a vécu l'explosion du 21 septembre de l'intérieur. On était en réunion au centre médico-social. On a d'abord amené nos blessés légers à l'hôpital. Ensuite, je suis allée voir les familles que je connaissais. On a essayé d'organiser les aides, de faire venir les pompiers, et on a géré l'agressivité car les gens étaient très en colère. Le samedi après-midi à Bordelongue, beaucoup n'avaient encore vu personne », se souvient avec émotion Myriam. Alors bien sûr elle a adhéré au collectif. Parce qu'elle pense que l'union fait la force ». Parce qu'elle a pas mal d'amis sinistrés » et qu'elle est elle-même sinistrée dans son appartement des Arènes. Parce qu'elle a été choquée ». Parce qu'elle a eu peur ». Parce que la détresse est très très grande dans les quartiers. » Pourtant, Myriam fait partie de ces membres du collectif qu'on ne voit pas beaucoup dans les réunions. Vous comprenez, avec mon travail je baigne toute la journée là dedans. Moi, j'avais besoin d'être sur le terrain et d'aider pour exorciser la peur. Alors, je suis allée à la manif du mardi qui a suivi l'explosion. Mais samedi dernier, j'ai préféré faire un breack. J'avais besoin de me reposer. » Isabelle Ricard à la commission logement Elle a l'air un peu timide assise comme ça sur sa chaise, dos au grand tableau blanc du local du syndicat Sud service public. Mais cette femme de 36 ans, mère de trois enfants, a un sacré caractère. Depuis qu'elle a fondé l'association Droit au logement, à Toulouse en 1993, Isabelle Ricard est passée maître dans l'art d'animer les débats. Alors, elle jongle avec les intervenants, donnant la parole à Jean-Pierre, Dominique, Pascal, Annick... Le tutoiement est de rigueur. Normal, elle connaît déjà presque tout le monde au collectif. Une atmosphère forcément studieuse qui finit par forger des résolutions communes. Déjà avant l'explosion, il y avait un gros problème de logement sur la ville, relève Isabelle qui s'est spontanément proposée pour la commission logement. Cette catastrophe est donc un véritable désastre de ce point de vue là. On va demander l'application de la loi de réquisition de 1945. En ce moment, on travaille sur des pistes juridiques pour contraindre l'état à appliquer cette loi qui fait appel à la notion d'urgence absolue. On démontrera qu'il y a des lieux vacants même si la municipalité ne les a pas dénombrés. Mais de toutes façons, au collectif il y a unanimité sur la possibilité de réquisitionner nous-mêmes si l'Etat ou la mairie ne le font pas. » Agnès Casero, commission juridique Les sinistrés peuvent compter sur les quatre avocates du collectif pour que justice soit faite 1. Parmi elles, Agnès Casero, 46 ans. A Toulouse cette avocate engagée depuis près de 20 ans dans le mouvement associatif, a tout naturellement rejoint le collectif depuis le 21 septembre, elle est saisie par le spectacle d'une ville coupée en deux. Celle qui souffre. Et celle qui semble ignorer la première. La catastrophe a souvent touché les plus pauvres. Toutes les plaintes que j'entends sont des plaintes au sens premier. Des plaintes qui viennent de loin. J'entends chaque fois un cri primal. Avec trois autres avocates, on met en commun notre savoir pour que la ville reprenne tous les dossiers l'urbanisme, la sécurité, la concentration des plus pauvres, l'absence de masques à oxygène, la difficulté pour les locataires de l'Opac à faire réaliser au plus vite les travaux. Agnès Casero est persuadée que le collectif doit être un interlocuteur au niveau des aspects techniques, judiciaires et humains. ». ______ 1. Stella Bisseuil, Agnès Casero, Claire Priollaud, Annie Cohen-Tapia. Gilles Da Ré à la commission action information Gilles Da Ré n'a pas attendu 50 ans pour faire marcher sa fibre militante. Membre du syndicat Sud à France Telecom, on l'a aussi vu sur le terrain aux côtés des copains » d'Agir ensemble contre le chômage ou d'Attac. Alors, deux jours après la catastrophe, c'est tout naturellement qu'il a participé à la première réunion qui a décidé de la manifestation du mardi 25 septembre. Sa mission avec les membres de la commission action information? Faire pression auprès des pouvoirs publics qui ont eu une vraie difficulté à avoir une cohérence dans l'intervention le 21 septembre ». Ils se sont trouvés devant un vide juridique. L'état de catastrophe naturelle déclenche une série de décisions, l'état de guerre aussi. Mais là, rien n'était prévu. Et de fait ils ont été complètement dépourvus. Ce qu'on veut maintenant, c'est que quand il y a un problème on puisse être reçu immédiatement à la préfecture. Ce n'est pas le cas actuellement. Le préfet nous tient le bec dans l'eau. Or, dès le moment où il y a une opacité au niveau de l'information du public, ça laisse la place à toutes les rumeurs; on le voit bien. La stratégie va donc consister à trouver un mode d'action qui nous permette d'avoir des réponses claires. » Marcel Leroux, porte-parole du collectif Bien qu'habitant loin du périmètre d'habitations les plus touchées par la catastrophe, Marcel Leroux, s'est tout de suite senti concerné par ce drame. Son seul but dès le vendredi 21 septembre a été de se rendre utile. Se rendre utile est une vieille habitude pour cet ingénieur de l'aviation civile, militant à Sud. Après avoir retroussé ses manches pour aider ses copains touchés par l'explosion, il a fait partie de ceux qui ont eu l'idée de lancer le collectif. Le dimanche soir on était déjà une cinquantaine ». Le syndicat Sud situé, impasse des Arènes, ouvre presque tous les soirs ses locaux au collectif. Les personnes qui ont participé le mardi suivant la catastrophe à la première manif, nous ont fait chaud au coeur. » Les premiers pas encourageants du collectif suivis de la longue marche suivie par près de personnes samedi dernier, ne font pas perdre de vue à Marcel Leroux que tout reste encore à faire Il faut s'organiser. Notre travail sera très très long ». Frédéric Arrou à la commission quartiers » On s'est rencontré dans la rue le lendemain de l'explosion. Isabelle Richard est venue vers moi; on ne se connaissait pas. J'ai pris un gros feutre dans mon labo photo qui était démoli. On a écrit l'annonce de la réunion, le soir, devant la piscine des Merlettes. Le bureau de tabac nous a fait les photocop gratuitement. On les a placardés un peu partout à Papus. Et c'est comme ça que le soir on s'est retrouvé à 500 ou 600. » Un acte citoyen qui a propulsé un peu malgré lui Frédéric Arrou sur le devant de la scène. Car depuis quelque temps déjà, sa maison est devenue le siège de l'Association des sinistrés du 21 », au 67 allées de Guyenne. Mais le clin d'oeil au film d'Henri-Georges Clouzot ne fait pas rire ce grand cinéphile. Vous savez, on est sans illusion sur les personnes qu'on a en face, des personnes qui n'ont pas de temps pour les sentiments, relève ce père de famille. On sait qu'ils sont armés, équipés, procéduriers, et reconnaître leurs torts n'est pas leur réflexe. » Alors, Frédéric et ses amis ne se contentent pas d'accueillir les sinistrés. Ils collectent aussi les plaintes. 623 ont déjà été déposées au procureur vendredi dernier par l'association. Et ce n'est pas fini, prévient Frédéric. Les assurances ne comptent pas la vétusté et il faut que les gens soient totalement indemnisés. » Le téléphone de l'association Jean-Pierre Bataille de la commission sécurité- environnement Depuis l'explosion, j'ai une colère qui ne m'a pas quitté ». Jean-Pierre Bataille, professeur de génie électrique au lycée Déodat-de-Séverac n'a pas perdu de temps pour l'exprimer sa colère. Le souvenir de l'enquête publique lancée pour l'extension de la SNPE en 97 et les joutes oratoires pleines de morgue et de sentiment de puissance de la part de la direction, la préfecture et la mairie me sont revenues en pleine figure. Pour moi qui étais au courant des problèmes liés au phosgène, j'ai imaginé la catastrophe à côté de laquelle on était passés. Quand j'ai vu les gosses courir dans tous les sens, quand j'ai vu Déodat détruit, j'ai voulu faire quelque chose pour que ça s'arrête. » Engagé dans le collectif de Déodat, Jean-Pierre Bataille représente foyers. Au sein du collectif plus jamais ça », il est membre de la commission sécurité environnement. Je ferai tout pour que ça s'arrête. La donne doit changer avec la prise de responsabilités des citoyens ». Les critiques et les revendications En premier lieu, le collectif Plus jamais ça ni ici ni ailleurs » demande la fermeture du pôle chimique sud de Toulouse, l'élimination des stocks et le paiement des salariés du site chimique. Mais s'il ne faut pas se couper des salariés », le collectif entend néanmoins mettre en évidence la complaisance des autorités vis à vis de la sécurité en interne à l'Onia et vis-à-vis de la gestion de l'urbanisme ». La carence dans l'organisation des secours est également dénoncée, tout comme l'incapacité des autorités à anticiper sur la catastrophe. Qu'est-ce qu'on fait s'il y a une nouvelle explosion? Quinze jours après, on ne le sait toujours pas. Il y a une opacité totale. » Le collectif entend donc mettre les autorités devant ses responsabilités » tout en soulignant qu'il ne faut pas créer de vent de panique dans la population ». Allusion faite au déménagement en cours des produits chimiques d'AZF, un déménagement soi-disant sans danger, mais comment leur faire confiance avec le phosgène tout proche ». Il est donc demandé un contrôle indépendant du site par le collectif » et l'engagement écrit des responsables de structures accueillant du public écoles, hôpitaux... que la sécurité des personnes est assurée dans leur établissement ». Plus généralement, c'est un souci de transparence que le collectif véhicule. Mais il n'oublie pas les sinistrés faisant de l'application de la loi de réquisition de 1945 au profit des sinistrés une de ses revendications fortes. Et que les pouvoirs publics ne comptent pas sur la fatigue des militants. Nous préparons des actions spectaculaires dans les prochains jours et les semaines à venir », prévient Marcel Leroux, un des membres du collectif. B. Vous pouvez joindre le collectif au Plus jamais ça Pas rassurant » Dans La Dépêche du Midi » d'hier, le collectif Plus jamais ça, ni ici, ni ailleurs » avait annoncé son intention d'interpeller le préfet et de lui remettre une motion demandant que soient stoppées toutes mesures de manipulation ou de transports de matières dangereuses tant que le phosgène n'est pas neutralisé ». Devant la préfecture, des barrières de sécurité attendaient la vingtaine de militants présents. Avec l'assentiment du préfet, trois membres de la délégation ont pu participer à la conférence de presse. Et poser toutes les questions qu'ils souhaitaient sur la sécurité du site chimique. S'ils sont satisfaits de la volonté de transparence du préfet et du directeur de la Drire, les responsables du collectif restent inquiets On n'est pas rassurés. Il n'y a aucune mesure nouvelle de prise. Tout est fait par rapport au produit, pas par rapport à la population, qui est en sursis. Les risques restent intenses dans les quinze jours qui viennent. Le préfet parle beaucoup au futur ». Pique-nique au Parc des biscottes dimanche La commission inter-quartiers du collectif Plus jamais ça », donne deux rendez-vous importants à tous ceux qui le souhaitent. Le premier est fixé au dimanche 7 octobre, dans le Parc des biscottes » dans le quartier Fontaine- Lestang. Il s'agit d'un pique-nique où chacun apportera son repas, ses parasols, ses chaises, sa couverture, sa guitare et sa bonne humeur. Heure du rendez-vous 11 heures. Le deuxième rendez-vous aura lieu lundi matin au Capitole où se déroulera un conseil municipal exceptionnel. La commission inter-quartiers du collectif Plus jamais ça », remettra à l'ensemble du conseil municipal un texte dans lequel elle attire l'attention de la municipalité sur la fermeture prématurée des cellules de soutien dans certains quartiers. » Leur suppression risque de provoquer un sentiment d'abandon ainsi qu'une forte réactivité. La commission juge indispensable que la mairie de Toulouse s'engage dans la durée en maintenant actives ces cellules. » Pour tout renseignement sur les prochaines réunions de la commission inter-quartiers Lerasage te fera toujours piquer le mieux c'est d'adopter l'épilation à la cire effet peau douce garanti! Répondre. Réactions: bebeta. Ancien-Membre. 29 Déc. 2013 #4 jawnaa à dit: Passe à l'épilation, si t'es une femme, le poil poussera plus fin Cliquez pour agrandir alors avec le rasage pas moyen de trouver une technique pour que ça pique pas? Répondre.Bonjour, J'ai eu une merveilleuse relation, qui a duré 14 ans. Avant ça, je n'ai eu, en abordant des femmes, que des échecs cuisants. On m'a envoyer balader vertement, de façon inique. On m'a même monté des plans, du genre j'étais tranquille, je ne demandais rien, on venait me brancher, me faire croire que j'avais ma chance, alors que j'étais peinard dans mon coin. On jouait avec moi, comme le chat avec la souris. Au bout d'un moment, lassé, on m'écrabouillait humiliation, devant les copines. Ou alors, des plans glauques. Un soir, deux nanas m'ont monté un chantier, pour que j'aille avec elles dans un bar. Là-bas, une fois arrivés, la blonde a commencé à dire ouais, mon mec c'est un furieux, quand il va te voir là... J'ai dit je finis mon verre et je me barre. Commençaient à me gonfler, ces deux fatiguées. Quand je me suis levé, regards éberlués ben, où tu vas ? J'ai dit que je me barrais une fois mon verre fini, donc je m'en vais. Le lendemain, je croise la blonde dans un autre endroit elle pique du nez, minable. Un soir, une vient, me propose de danser. Je dis, je ne sais pas. Je vais t'apprendre, qu'elle répond. Elle se frotte contre moi, une vraie chienne en chaleur. Je vous jure, sa chatte contre mon manche, comme une tarée. Le lendemain je l'appelle et là, d'un ton pincé oui mais je suis mariée, tu comprends... Une tarée, une ravagée du bulbe. Des plans destroy comme ça, à ne plus les compter. Voilà, et je vous épargne les détails, mais en gros, c'était toujours comme ça de la merde. Bon, 14 ans ont passé, je ne suis plus avec ma petite merveille. Je ne rentre pas dans les détails, mais voilà, on s'est quittés. J'étais si heureux, avec elle ! Mais en fait, dans sa vie, il n'y avait pas vraiment de place pour un homme. Son boulot, ses enfants, ses chiens, chats, balades et loisirs, passaient avant. Et moi, je venais en tout dernier, quand il restait du temps, et il n'en restait guère. Je n'ai pas supporté, je l'ai quittée. A présent, je n'ai plus le style de vie de cette époque, avant de la rencontrer, où j'avais des copains, je sortais beaucoup. La petite bande a volé en éclats. J'ai changé j'avais un idéal, un but dans la vie, j'ai sans doute mis la barre trop haut, j'ai compris que je ne l'atteindrais jamais. Je me suis... psychologiquement tassé, on va dire. Je n'ai presque plus de vie sociale. Et puis, il y a d'autres choses, mais que je ne peux dire ici. Bref, je n'ose plus y aller. Si demain je devais me remettre dans l'enfer de la drague... je ne me sens plus. La période "punching ball", je ne la revivrai pas. En conclusion je suis persuadé, à tort ou à raison, qu'avec ma petite taille, mon côté atypique et hypersensible, mon physique sans doute quelconque, ma timidité, mon peu de vie sociale, je ne retrouverai jamais une belle histoire, comme celle que j'ai eu la chance de vivre, même si les 5 dernières années ont été une lutte pour maintenir un couple condamné. On a joué les prolongations, pour dire ça vite. Qu'en pensez-vous ? Je trouve que les femmes sont dures, hyper exigeantes. Avec ce système l'homme propose / la femme dispose, c'est elle, qui, en dernier ressort, détient le pouvoir, le feu rouge ou le feu vert. Et elle en use, en abuse. Certes les femmes se font solliciter, et pas toujours par des types très fins. Mais elles n'ont aucun mal à les jeter, enfin moi, j'ai vu jeter, tant et plus. Moi, mais aussi des copains à moi, en pagaille. Par contre, comme il en vient des paquets, elles ont toujours la chance d'en avoir un de valable au milieu, alors elles font leur petit marché, leurs choix... Et puis, il y a celles qui profitent de la situation, te font faire le parcours d'essai, pendant des semaines, se font inviter à ceci ou à cela, pour te dire à la fin "tu ne me plais pas physiquement". Pouvais pas le dire avant ? ? ? J'ai les boules. J'en ai marre. Je ne supporte plus ma solitude, je suis fait pour aimer, j'en ai besoin, chez moi c'est vital. J'avais trouvé une femme bien différente des cagoles que je décris, des tarées. Elle était tout le contraire cultivée, intelligente, fine, ouverte... Mais bon, à terme, sa vie était si particulière, il n'y avait pas vraiment de place pour quelqu'un. J'ai souffert, pendant cette séparation, j'étais anéanti. D'abord, parce que je l'aimais, plus que tout au monde. Ensuite, parce que je me disais, plus personne ne voudra de moi. Et ça, je le pense encore. En fait, plus le temps passe, plus il guérit ma blessure d'amour. Mais plus le temps passe, plus mon angoisse de rester seul augmente. Et je me dis, moi, comme je suis, avec mon background social et mon côté hors des clous, avec ma petite taille, avec mon âge 57... Je précise que les femmes de mon âge ne m'attirent pas du tout, absolument pas. Ma compagne avait 10 ans de moins que moi, elle faisait jeune, elle avait certes changé depuis qu'on s'était connus, mais je l'acceptais, je l'adorais, j'étais prêt à tout pour rester avec elle. Mais pas à faire le bouche-trou. J'en ai eu marre de toutes les fois où on devait se voir, et au dernier moment, elle ne venait pas. On habitait à 5 mn l'un de l'autre, mais plus les années passaient, moins on se voyait. Je n'ai pas supporté ça. Voilà. Autre chose j'ai un ami qui a 20 ans de moins que moi, il est en pleine séparation. L'autre jour, il me disait pareil d'après lui, il n'a plus aucune chance à présent, etc. Alors, vous en pensez quoi ? Je sais que pour beaucoup, c'est la confiance en soi qui joue. Mais moi, d'abord on m'en a trop fait, je suis à vif. Ensuite, je n'ai jamais brillé par la confiance en moi, puisque depuis toujours, on m'a bien fait sentir, d'une, que j'étais petit, de deux, que j'étais trop... différent. En fait, depuis tout gamin, on m'a fait sentir que j'étais différent, on m'a traité à part, avant même que je sois en mesure de comprendre qu'il y avait une différence, encore moins de pouvoir dire quoi, en quoi elle consistait. Bon, à force d'être ostracisé, isolé, j'ai développé un imaginaire fertile, je suis devenu artiste, écrivain, plasticien, musicien, etc. Mais si je pouvais choisir, je serais plus "conforme", et je souffrirais moins, car là... tant que j'avais ma petite merveille, je m'en foutais, des femmes, de tout ça. Mais maintenant que c'est fini, l'enfer recommence. Et je ne me sens plus, non. Plus du tout. Ni d'y aller, ni de rester seul. C'est sans issue. J'ai envie d'en finir, par moments. A vous, les mecs, au secours. Ah, pitié pas de donneurs de leçons, et ne jouez pas à "je vais te botter le train", ça n'a jamais marché avec moi, ok ?
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Paroles de Plus J'Aime, Plus Je Pique par Olivia RuizPlus j′aime, plus je pique Pour percer le problème Grand Dieu que l'on me décortique Plus j′aime, plus je pique Je m'entraitre à réduire les victimes Mais la chute est systématique Je te demande pardon Je t'aime fait mal Quelle est cette pulsion? Elle me tue Plus j′aime, plus je pique Pourtant je fais attention Avec mes épines d′hérisson Plus j'aime, plus je pique Je te pousse à l′attaque, sans le vouloir ça me tue, mais c'est physiologie Plus j′aime, plus je pique Pourtant je fais attention J'avale souvent mon poison Plus j′aime, plus je pique Je butinerai ailleurs, je n'ai pas d'autre Antidote à tes malheurs Je te demande pardon Je t′ai fait mal Quel est ce démon Qui me tue? Je te demande pardon Je t′ai fait mal Ces foutues pulsions Elles me tuent Plus j'aime, plus je pique ça brûle mes propres ailes Cela n′a rien de tactique Plus je pique Pourtant je fais attention Plus j'aime, plus je pique Je pars donc vais voler seule Sans toi, le voyage sera moins électrique Plus je pique Pourtant je fais attention Je te demande pardon Je t′ai fait mal Quel est ce démon Qui me tue? Je te demande pardon Je t'ai fait mal Quelle est cette pulsion? Elle me tueWriters Olivia Ruiz
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